« On annule ? On n’annule pas ? ». Telles étaient les questions que se posaient Sullivan Kulagowski, Président du Comité des Fêtes, et les membres du bureau. Après mûre réflexion, il a été décidé de maintenir la totalité des évènements, mais pas dans n’importe quelles conditions. Effectivement, rien n’a été laissé au hasard. Dès l’apéritif dinatoire, le vendredi soir, les mesures sanitaires étaient appliquées à la lettre : contrôle du Pass Sanitaire, solution hydro-alcoolique à l’entrée et à différents endroits de la salle, port du masque obligatoire, respect des distances de sécurité. Et ça s’est passé comme ça jusqu’au samedi soir, fin de la manifestation.

Le week-end du Téléthon a réellement débuté le vendredi après-midi avec les élèves de l’école des Verts Monts qui ont participé à leur manière en achetant une coquille et un chocolat chaud. Il est toujours louable d’associer les enfants à un évènement caritatif car c’est en quelque sorte de l’éducation à la citoyenneté.

La soirée théâtre a rencontré un franc succès. Ce duo de professionnels était un gage de qualité. Dans le monde du théâtre patoisant, on peut trouver du très mauvais mais aussi du très bon, et là, à en croire les impressions recueillies auprès de spectateurs, c’était du très très bon. Pas de patois vulgaire avec un accent exagéré mais du jeu d’une très grande justesse avec une histoire drôle et touchante à la fois.

Le planning d’activité du samedi était très chargé. Une journée qui a débuté par l’arrivée de la flamme de l’espoir depuis Carency, village partenaire. Ensuite, chacun pouvait y trouver son compte. Un challenge sportif parent/enfant, un concert donné par le groupe Oryx, ou encore en activités annexes un challenge tapis de course ou des combats de sumos. Sans oublier l’assiette de pommes de terre et charcuterie avec sa tarte en dessert, et tous les standards habituels : sangria, buvette, crêpes, etc. La journée s’est achevée avec un karaoké.

Merci aux organisateurs, aux bénévoles, aux associations présentes (bien trop peu malheureusement), et aux participants qui, même s’ils étaient moins nombreux en raison de la conjoncture actuelle, ont répondu présents.